Carlo e Licia

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venerdì 4 novembre 2016

Biographie de Licia Collobi Ragghianti

Licia Collobi est neé à Trieste, ville encore sous l'empire des Hababourg, le 24 août 1914 de Alberto Golubic (par la suite italianisé en Collobi) et Silvia De Domazetovich. Elle a passé sa première enfance à Klagenfurt ù son père, blessé au bras en Galizia en 1915, fut transféré en tant que Commandant du Magasin Militaire. Désormais bilingue elle revint à Trieste avec sa famille après la guerre. Dans cette ville elle a frequenté les écoles primaires, secondaires, le premier an du gymnase et le dernier an du lycée.



En raison de la très délicate santé de sa tuberculeuse mère – plusieurs fois hospitalisée dans le Sanatorium de Bressanone – Licia a ici frequenté l'école du second an du gymnase jusqu'aux deux premiers ans du lycée, se presentant à l'examen d'admission au dernier an du lycée à Trieste où elle obtint le diplôme avec des trè bonnes notes.
En 1932 mère et fille reviennent à Trieste, où à la fin de l'année Licia obtient aussi le diplôme au Consaervatoire.
Dans l'autumn de cet an elle s'inscrit à l'Université de Torino où elle voulait obtenir son diplôme en “germanisme” . Elle y suit ses études avec beaucoup de profit mais avec discontinuité puisque elle doit revenir plusieures fois à Trieste à cause des mauvais conditions de santé de sa mère, qui meurt février 1936. Licia obtient son diplôme en Histoire de l'Art juin 1936 avec la plus grande note: 110 cum laude. Sa thèse sur Carlo Castellamonte sera publiée dans le Bollettino storico-bibliografico subalpino, fasc. xxxix, 1937.
En janvier 1937 elle obtient le diplôme pour einsegner Histoire de l'Art dans les lycées, et c'est à partir de cette année qu' elle commence à publier des essais et des comptes rendus.
Sa rapporteuse de thèse Anna Maria Brizio – qui a étée la première femme professeur en Histoire de l'Art d' Italie- lui suggère de poursuivre ses études avec une bourse triennale de perfectionnement chez/près l'Institut de Archeologie et Histoire de l'Art à Rome, où elle arrive en janvier 1937.
En février elle rencontre Carlo Ludovico Ragghianti qui – comme elle-même adfirme - “tenait un cours privé antithétique au cours officiel, et que j'ai suivi avec beaucoup d'autres avec un grand profit”.
En printemps 1938 elle est à Naples où avec Ragghianti et d'autres prépare la “Exposition de trois siècles de peinture”. En cette occasion Ragghianti lui fait connaître Benedetto Croce.
Après la fin du perfectionnement en juillet 1938 elle se transfère à Piacenza où elle travaille à la compilation de l'inventaire général des oeuvres et des objets d'art de la province, avec la rédaction de la relative bibliographie.
Toujours plus forte est l'amitié culturale, affective, et après aussi politique, avec Carlo Ludovico Ragghianti, comme on peut déduire de l'intense correspondence épistolaire entre eux. De cette correspondance il s'ensuit que eux se tutoient seulement moitié août 1938.
Ragghianti est à Modena lui-aussi pour ficher les oeuvres de la Galerie de la Maison d'Este. Cette tâche est possible malgré sa manque d'inscription au parti fasciste. Il est à Modena aussi pour organiser clandestinement le réseau de Giustizia e Libertà qui comprende les régions Emilia, Marche et Veneto.
Le co-partage des ideaux, de la connaissance et des experiences entre Licia et Carlo aboutit dans leur mariage à Florence le 30 novembre 1938. Pendant les années 1938 et 1939 elle voyage beaucoup à l'étranger pour son travail et pour ses études en Italie et à l'étranger. Seule en France et à Paris en novembre 1938, après à Londres avec son mari jusqu'au juin 1939 (événements qu'on peut déduire de leur correspondance).
A' Londres, où se trouvait dans cette même période un très jeune Bruno Zevi, pour Carlo Ludovico Ragghianti les études furent surtout une couverture pour ses importants contacts avec l'antifascisme anglais et americain, par le rôle intérmediaire de Dorothy Thompson,journaliste et radioreporteur americaine antinazi.
Au cours de l'été 1939 Licia est à Venise où elle avait contacté Piero Mentasti qui gerait la Galerie Arc-en-ciel et qui ésperait que Ragghianti puisse la relancer. Mais le projet ne continua pas, puisque en septembre 1939 l'Italie adhère à la guerre déja en cours.
Décembre 1939 Licia et Carlo reviennent à Modena pour la continuation de leur travail. Après ils se déplacent à Bologna peu de jours avant la naissance de leur fils Francesco (10/1/1940).


Avec Cesare Gnudi et Ugo Procacci en décembre elle signe le contrat – non réalisé- avec l'éditeur Salani pour la redaction d'un Manuel d'Histoire de l'Art pour les lycées.
Dès le commencement de son rapport avec Carlo Ludovico elle est son inlassable collaboratrice dans toutes ses intenses initiatives de travail, étant donné la parfaite entente qui existe entre le deux en fait de principes éthiques et de choix de vie.
Pour cettes raisons Licia ne prendra aucun soin de sa santé, situation/fait qu'elle paiera soit au cours du période 1940-1945, soit pendant les derniers ans de sa vie.
En 1941 elle apporte sa collaboration pour le projet de renouvellement de la revue “Emporium” - envisagé par son mari – mais cette tâche est sospendue après la publication de deux fascicules à cause de l'arrestation de Carlo Ludovico, incriminé pour son activité politique contre le fascisme.
Elle habite à Modena, par l'ordre du Tribunal Spécial, de l'octobre 1941 au 24 aout 1943.
Mére de deux enfants (Francesco et Rosetta, néé à Modena le 13/4/1943), femme d'antifasciste arreté deux fois (1942 à Modena et après ammené à Florence, prison Le Murate, puis de mars jusqu'au 26 juillet 1943 incarcéré à Bologna, prison de San Giovanni in Monte).
Licia travaille auparavant comme profeseur d'Histoire de l'Art au lycée Minghetti à Bologna, et après comme remplaçante inspectrice près de la Direction Générale des Galeries d'Art Médievale et Moderne de Modena et Reggio Emilia, où elle est assumée par la Galerie Estense à Modena.
Elle doit en même temps coordonner et pursuivre les initiatives de travail et d'étude du mari enfermé en prison et, surtout, tenir les contacts avec le réseau clandestin, organiser les communications et les actions du mouvement de Giustizia e Libertà, désormais orienté à la lutte liberatrice contre le fascisme.
Dans la même période elle déménagera deux fois, de Modena à Bologna et de Bologna à Firenze.
Le 26 juillet 1943 Carlo L. Ragghianti est fait sortir de prison et le 3 septembre il est à Florence avec sa famille, en semi-clandestinité.
Après le 8 septembre 1943 est manifeste la partecipation de Licia au Partito d'Azione et à la lutte armée (pour ce motif Licia prendra le congé comme majeur de l'armée italienne) avec risques ulterieurs et déménagements imprévus. Elle est une estaffette partisane qui réussit à se déplacer das une ville et une région inconnues grace à sa formidable mémoire, qui lui permet d'acquérir très vite des données même complexes.
Licia devient l'archive vivant de la clandestinité civile et militaire confié à son mari. Elle est aussi la dépositaire de la plus part des communications clandestines du Partito d'Azione avec Parri à Milan, avec le Veneto, l' Emilia et naturellement Florence et la Toscana.
Après l'auto-libération de Florence le 11 août 1944, à la suite des inéluctables consequences et des activités absorbantes propres et celles liées au rôle de President du CTLN de son mari elleest très éprouvéé et pour cettes raisons elle sera obligée à séjournes près de son père ingenieur de la Navalmeccanica, à Naples du janvier au juillet 1945.
Elle est à Rome une partie de l'an 1945,près de son mari qui fait partie du gouvernement Parri, mais en décembre elle rentre avec ses deux fils à Florence, où elle travaille – comme elle même se rappelle – à ficher des dessins du Gabinetto Disegni e Stampe degli Uffizi et à la Galerie d'Art Moderne de Palazzo Pitti, dont elle projeta un nouveau aménagement non réalisé. Son troisième fils, Giacomo, naît le 5 juin 1946. 


Entre 1946 et 1955, à côté de sa propre activité et de la gestion familiale, sa collaboration avec son mari est constante. En 1946 elle collabore à la direction des collections “Quaderni d'Arte” et “Saggi di critica d'arte” éditions U/Florence; elle est aussi sécretaire - chargée par la Direction Générale – des importantes expositions tenues à Palazzo Strozzi et à La Strozzina, dont elle s'occupes des catalogues (1947 Mostra d'arte olandese e fiamminga, 1948 Mostra della casa italiana nei secoli; 1949 Mostra su Lorenzo il Magnifico e le arti). Elle prépare aussi le catalogue et l'exposition “Mostra sulla sedia italiana nei secoli” pour la Triennale à Milan 1951. Ce catalogue a été ri-édité en 2005 parce que “ se révèle exemplaire par rigueur et clarté dans la présentation d'un materiel qui a une importance historique particulière pour l'évolution de la “culture des objets” et pour le design dans notre pays” (Vittorio Fagone). Toujours en 1951 elle partcipe à la réalisation de l'importante exposition des oeuvres de Frank Lloyd Wright, aussi comme 

interprète. Est du 1952 le commencement de la revue bimestrelle de culture,selection, information artistique internationale seleArte, éditée par la société Olivetti.  Cette revue représente un décisif changement dans le domaine de la divulgation artistique, pour son accessibilité innovatrice et rigoureuse soit économique que méthodologique. Elle y partecipe du commencement, s'assumant au fur et à mesure des choix des matériaux et de la rédaction des essais, et aussi de la compilation des rubriques. En juillet 1956 elle devient la seule rédactrice de la revue, et en mai 1964 co-directrice. Après juin 1966 la revue cesse de sortir (le majeur tirage a été en juin 1958 avec 54.544 copies vendues).
Une section avec le titre seleArte apparaît dans le fascicule n. 78 (avril 1966) de la revue Critica d'Arte jusqu'en 1989, dernière série publiée par éd. Panini.
En 1954 elle devient aussi rédacteur de la revue Critica d'Arte et en 1964 vice-directeur.
Dès 1955 la famille s'établit dans la maison qui sera définitive, sur le couteau du Monte Morello. En 1956, quand elle attendait sa fille Anna (née le 17 juillet) elle prend sa retraite d'avance grace aux facilités de loi et elle peut ainsi intensifier ses études et sa collaboration aux deux revues.
Sa parfaite connaissance de la langue allemande lui permet de publier en 1959 sa traduction de “Arte tardoromana” de Alois Riegl, précédée par une très importante nouvelle critique dans laquelle l'oeuvre du grand spécialiste est présentée dans une façon qui peut mieux et convenablement l'introduire dans la culture. Ce livre “représente en effet une expérience fondamentale de la critique d'art moderne et reste vital et actuel après 60 ans de sa premiére parution”.
Au commencement de l'an 1960 la santé, les engagements, la responsabilité familiale contraignent Licia à envisager l'abandon de la revue seleArte, décision retirée malgré l'augmentation de l'engagement dû à la revue, à cause des initiaties toujours plus nombreuses de son mari.

En 1961 Neri Pozza publie “Falsi e falsari”(Faux et faussaires) un livre qui est “un compte rendu des intentions, des méthodes et des techniques anciens et récents et un répertoire très considerable par son ampleur, même si non complet des faux de tout temps et en tout lieu”. 
Licia traduit ce livre, dont ella a aussi la curatelle, et – comme elle temoigne dans sa “Mémoire pour ses fils”(1989) – elle adjute “à la partie en état d'asphyxie des illustrations, beaucoup de très beux faux que Zeri ne connaît pas, mais c'est un fait qu'on n'a jamais parlé de ce livre,.. mais le livre était très interessant, et comme toujours Kurz, amusant”. Ce livre a eu une nouvelle édition en 1996.
Le livre Peintres flamands paraît en 1962 au soins de G. Argentieri. En Réalité, comme on deduit du contrat du 28 février 1962, le livre a été écri par Licia qui accepte, au point 5, que la publication paraisse avec la seule citation: aux soins de G. Argentieri. Ce travail a été procuré par Alfredo Righi Cette situation ne l'a pas empechéeet a permis la trasformation de l'installation du chauffage de la maison, du charbon au mazout.
L'essai prend en consideration toute la peinture flamande entre le Xve et le XVIIe siècle, avec une precise et claire vision de ce période si riche en faits figuratifs d'un très haut niveau.
Entre 1963 et 1967 son publiés trois liovres et plusières contributions dans seleArte et Critica d'Arte qui concernent ses études sur les dessins de la Fondation Horne à Florence, du catalogue critique général à les études de chaque artiste de la collection. C'est-à-dire: Disegni della Fondazione Horne, scelta e catalogo sommario, Firenze La Strozzina 1963; Disegni inglesi della Fondazione Horne a Firenze, catalogo critico, Milano ed. Comunità 1966 avec aussi une introduction en anglais; Disegni di Francesco Guardi nella Fondazione Horne a Firenze, problemi guardeschi. Décisions du congrès 13-14 septembre 1965 Venezia, Alfieri 1967.


Ce sont en effet les dessins un des sujets principaux qui reviennent dans ses études.
De l'an 1967 sa santé conditionne de plus en plus son activité, puisqu' elle est contraînte à de séjours très courts mais frequents auprès de la mer – surtout à Viareggio – ou à la montaigne, à Moena, pour retrouver sa santé. Cette sitation ne l'a pas empêchée de continuer son travail (traductions, correction des épreuves et tout ce que devenait nécéssaire) et sa gérance dans l' aménagement de sa maison. Après le mariage de son aide familiale, Maria Landi, elle est aidée par ses deux fils aînés.
Du 1968 paraît sa contribution dans les livres de la série Musei del Mondo publiée par Mondadori. Cette série est traduite en plusieres langues et diffuséè dans plusieurs pays (Alte Pinakothek, Monaco; National Gallery, Washington; Prado, Madrid). A' Licia sont dû la plus part des textes du Museo Nazionale di Antropologia, Città del Messico.
En printemps 1970 elle risque de mourir pendant une banale opération pour enlever des calculs à sa vésicule biliaire à cause d'un arrêt du coeur qui contraint le chirurgien à un massage à coeur ouvert jusqu'à l'arrivée de l'appareil nécéssaire. Son ésprit indompté lui permet encore une fois de surmonter cette épreuve. Après des mois de convalescence elle reprend sa vie de toujours.
Elle écrit des livres, apporte sa collaboration à son mari, pour qui elle traduit de l'allemand le livre de W. Braunfels “Architettura cittadina medievale in Toscana, Berlino 1953 et continue à s'occuper de l'aménagement de sa famille et de sa maison. Pendant ce période elle intensifie ses études pour la reconstitution de l'opus du Libro dei disegni, del Vasari.
Entre 1970 et 1986 dans la vie des époux Ragghianti devient important le séjour estival à La Guglielmesca hôtel près de Cortona où il peuvent se reposer et travailler sous l'affectueuse attention des hôteliers Nice e Mario Boeri. Après 1980 le séjour était prolongé par leur hospitalisation dans l' hôpital de Cortona sous le soins du professeur Marco Ricca pour mieux affronter les rigueurs de l'hiver. Les deux volumes de “Il libro De' Disegni del Vasari” est publié en 1974 par les éditions Vallecchi, et l'autrice précise que “il est la première représentation critique, totalement illustrée de la collection graphique à laquelle Giorgio Vasari s'est dédié tout le long de sa vie, avec un engagement parallèle à celui exgìigé du travail pour la colossale oeuvre des “Vite”.
Elle collabore encore deux fois à la série Mondadori Musées du Monde: Metropolitan Museu, New York, Museo Archeologico Nazionale di Atene (1979). Entre 1980 et 1984 pour la série Documenti éditée par De Agostini Novara elle écrit: Civiltà preincaiche; Splendori delle civiltà precolombiane; Ambienti del Rinascimento: Ces trois derniers volumes sont des oeuvres de vulgarisaion concises, exhaustives et rigoreuses en critique.
Du 1985 est la publication du consistant livre “Il Quattrocento europeo” quatrième volume de l'Histoire de la Peinture (édité par De Agostini Novara) dont son mari était le directeur. Dans ce livre elle conclut avec cohérence et exhaustivement les recherches, les approfondissements et les études entrepris en faisant les comptes rendu des livres et des exposition dans seleArte pendant plus de 30 ans.


Malgré sa santé, aggravée par une progressive et inexrable diminuition de sa capacité respiratoire, Licia continue comme toujours à travailler, aménager et participer – quand et comme elle peut – aux initiatives et manifestations promûes par son mari.
Au cours deson long mariage, la table de Licia a été toujours un poiunt de rencontre de personalités italiennes et étrangères. Artistes, hommes politiques et de culture, archiects, hommes des lettres et ausii les élèves du mari se sont succedé, au déjeneur, au diner ou aux deux repas. Engagements acceptés aussi à cause de partage à la conception du devoir et du comportement comme/en qualité de professeur universitaire que Ragghianti avait empruntée à la tradition allemande.
Peu de jours avant la mort de son mari Carlo Ludovico vient de paraître l'avant-dernier livre deLicia “Giotto” qui pourrait sembler une oeuvre compilatrice de circonstance, mais qui au contraire est un étude médité. Bien que ouvrage de vulgarisation – et on ne doit pas oublier qu'elle a été maître et pionnier dans l'usage de cette capacité explicative, comme elle-même écrit “ ce court mais rigoureux essai...veut être ..une nouvelle réflexion, conçue comme hommage à l'extraordinaire expérience de ferveur et de vie que ce grand fils du Mugello nous a donnée”.
Bien que contraînte par son presque continuel alitement eòlle dépense toujours au maximum ses énergies, sauf devoir faire après des pauses forcées pour se rétablir. Son déclin physique s'accentue irrévocablement dès 1987, mais malgré tout soutenue par son indomtable caractère elle continue à travailler et à s'engager jusqu'à la rédaction de son dernier ouvrage “Dipinti fiamminghi in Italia 1420-1570” éd. Calderini Bologna, publié après sa mort. Le parcours idéal commencé en 1947 avec l'exposition à Palazzo Strozzi dédiée aux Flamands se termine ainsi. Ranieri Varese a écrit:” l'étendue de l'information permet à ce Corpus de constituer une surprise pour les spécialistes, même pour ceux qui connaissent la peinture flamande.. Parcourir les nombreuses pages de ce Corpus constitue une ininterrompue sollecitation et une invitation: il n'est pas risqué adfirmer qu'il s'agit d'un des plus importants livres parus dand ces ans.”
Son fils aîné François, soucieux avec ses soeurs à cause du commencement de dépression de sa mère à la suite de la mort de son compagnon après 49 ans veçus très intensivement “dans une consciente construction, du moment où nous avons décidé de vivre ensemble” puisque le Corpus flamand était conclu insista avec affection avec sa mère à fin qu'elle raconte par écrit les vicissitudes familiales. Deux ont été les écrits consequents, dont une publié comme monographie – même si dans la revue semi-clandestine seleArte, fanzine familial publié à soi posthume et en quelque dizaine d'exemplaires avec le titre “Note per un lessico familiare” en septembre 1994.
Le “Lexique” s'achève le 23 avril 1989 et constitue une espèce de prologue à la narration des événement entre Licia et Carlo Ludovico. L'autre, écrit pendant la période d'hospitalisation à la clinique Quisisana à Montecatini Alto, est conclu le 7 avril 1989 à Florence, dans sa maison quand ellle était déjà contraînte au lit en permanence avec le titre “Una mamma racconta, ai miei figli, scritto per loro”. Composé de 190 pages dactylographiées par sa fille Anna, écrit dand 4 grands cahiers sans corrections
ni nouvelles réflexions, ce livre est toujours inédit pour désaccords sur sa publication. Licia Collobi Ragghianti meurt le 27 juillet 1989.

Rosetta Ragghianti



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