Licia
Collobi est neé à Trieste, ville encore sous l'empire des
Hababourg, le 24 août 1914 de
Alberto Golubic (par la suite italianisé en Collobi) et Silvia De
Domazetovich. Elle a passé sa première enfance à Klagenfurt ù son
père, blessé au bras en Galizia en 1915, fut transféré en tant
que Commandant du Magasin Militaire. Désormais bilingue elle revint
à Trieste avec sa famille après la guerre. Dans cette ville elle a
frequenté les écoles primaires, secondaires, le premier an du
gymnase et le dernier an du lycée.
En
raison de la très délicate santé de sa tuberculeuse mère –
plusieurs fois hospitalisée dans le Sanatorium de Bressanone –
Licia a ici frequenté l'école du second an du gymnase jusqu'aux
deux premiers ans du lycée, se presentant à l'examen d'admission au
dernier an du lycée à Trieste où elle obtint le diplôme avec des
trè bonnes notes.
En
1932 mère et fille reviennent à Trieste, où à la fin de l'année
Licia obtient aussi le diplôme au Consaervatoire.
Dans
l'autumn de cet an elle s'inscrit à l'Université de Torino où elle
voulait obtenir son diplôme en “germanisme” . Elle y suit ses
études avec beaucoup de profit mais avec discontinuité puisque elle
doit revenir plusieures fois à Trieste à cause des mauvais
conditions de santé de sa mère, qui meurt février 1936. Licia
obtient son diplôme en Histoire de l'Art juin 1936 avec la plus
grande note: 110 cum laude. Sa thèse sur Carlo Castellamonte sera
publiée dans le Bollettino storico-bibliografico subalpino, fasc.
xxxix, 1937.
En
janvier 1937 elle obtient le diplôme pour einsegner Histoire de
l'Art dans les lycées, et c'est à partir de cette année qu' elle
commence à publier des essais et des comptes rendus.
Sa
rapporteuse de thèse Anna Maria Brizio – qui a étée la première
femme professeur en Histoire de l'Art d' Italie- lui suggère de
poursuivre ses études avec une bourse triennale de perfectionnement
chez/près l'Institut de Archeologie et Histoire de l'Art à Rome, où
elle arrive en janvier 1937.
En
février elle rencontre Carlo Ludovico Ragghianti qui – comme
elle-même adfirme - “tenait un cours privé antithétique au cours
officiel, et que j'ai suivi avec beaucoup d'autres avec un grand
profit”.
En
printemps 1938 elle est à Naples où avec Ragghianti et d'autres
prépare la “Exposition de trois siècles de peinture”. En cette
occasion Ragghianti lui fait connaître Benedetto Croce.
Après
la fin du perfectionnement en juillet 1938 elle se transfère à
Piacenza où elle travaille à la
compilation de l'inventaire général des oeuvres et des objets d'art
de la province, avec la rédaction de la relative bibliographie.
Toujours
plus forte est l'amitié culturale, affective, et après aussi
politique, avec Carlo Ludovico Ragghianti, comme on peut déduire de
l'intense correspondence épistolaire entre eux. De cette
correspondance il s'ensuit que eux se tutoient seulement moitié août
1938.
Ragghianti
est à Modena lui-aussi pour ficher les oeuvres de la Galerie de la
Maison d'Este. Cette tâche est possible malgré sa manque
d'inscription au parti fasciste. Il est à Modena aussi pour
organiser clandestinement le réseau de Giustizia e Libertà qui
comprende les régions Emilia, Marche et Veneto.
Le
co-partage des ideaux, de la connaissance et des experiences entre
Licia et Carlo aboutit dans leur mariage à Florence le 30 novembre
1938. Pendant
les années 1938 et 1939 elle voyage beaucoup à l'étranger pour son
travail et pour ses études en Italie et à l'étranger. Seule en
France et à Paris en novembre 1938, après à Londres avec son mari
jusqu'au juin 1939 (événements qu'on peut déduire de leur
correspondance).
A'
Londres, où se trouvait dans cette même période un très jeune
Bruno Zevi, pour Carlo Ludovico Ragghianti les études furent surtout
une couverture pour ses importants contacts avec l'antifascisme
anglais et americain, par le rôle intérmediaire de Dorothy
Thompson,journaliste et radioreporteur americaine antinazi.
Au
cours de l'été 1939 Licia est à Venise où elle avait contacté
Piero Mentasti qui gerait la Galerie Arc-en-ciel et qui ésperait que
Ragghianti puisse la relancer. Mais le projet ne continua pas,
puisque en septembre 1939 l'Italie adhère à la guerre déja en
cours.
Décembre
1939 Licia et Carlo reviennent à Modena pour la continuation de leur
travail. Après ils se déplacent à Bologna peu de jours avant la
naissance de leur fils Francesco (10/1/1940).
Avec
Cesare Gnudi et Ugo Procacci en décembre elle signe le contrat –
non réalisé- avec l'éditeur Salani pour la redaction d'un Manuel
d'Histoire de l'Art pour les lycées.
Dès
le commencement de son rapport avec Carlo Ludovico elle est son
inlassable collaboratrice dans toutes ses intenses initiatives de
travail, étant donné la parfaite entente qui existe entre le deux
en fait de principes éthiques et de choix de vie.
Pour
cettes raisons Licia ne prendra aucun soin de sa santé,
situation/fait qu'elle paiera soit au cours du période 1940-1945,
soit pendant les derniers ans de sa vie.
En
1941 elle apporte sa collaboration pour le projet de renouvellement
de la revue “Emporium” - envisagé par son mari – mais cette
tâche est sospendue après la publication de deux fascicules à
cause de l'arrestation de Carlo Ludovico, incriminé pour son
activité politique contre le fascisme.
Elle
habite à Modena, par l'ordre du Tribunal Spécial, de l'octobre 1941
au 24 aout 1943.
Mére
de deux enfants (Francesco et Rosetta, néé à Modena le 13/4/1943),
femme d'antifasciste arreté deux fois (1942 à Modena et après
ammené à Florence, prison Le Murate, puis de mars jusqu'au 26
juillet 1943 incarcéré à Bologna, prison de San Giovanni in
Monte).
Licia
travaille auparavant comme profeseur d'Histoire de l'Art au lycée
Minghetti à Bologna, et après comme remplaçante inspectrice près
de la Direction Générale des Galeries d'Art Médievale et Moderne
de Modena et Reggio Emilia, où elle est assumée par la Galerie
Estense à Modena.
Elle
doit en même temps coordonner et pursuivre les initiatives de
travail et d'étude du mari enfermé
en prison et, surtout, tenir les contacts avec le réseau clandestin,
organiser les communications et les actions du mouvement de Giustizia
e Libertà, désormais orienté à la lutte liberatrice contre le
fascisme.
Dans
la même période elle déménagera deux fois, de Modena à Bologna
et de Bologna à Firenze.
Le
26 juillet 1943 Carlo L. Ragghianti est fait sortir de prison et le 3
septembre il est à Florence avec sa famille, en semi-clandestinité.
Après
le 8 septembre 1943 est manifeste la partecipation de Licia au
Partito d'Azione et à la lutte armée (pour ce motif Licia prendra
le congé comme majeur de l'armée italienne) avec risques ulterieurs
et déménagements imprévus. Elle est une estaffette partisane qui
réussit à se déplacer das une ville et une région inconnues grace
à sa formidable mémoire, qui lui permet d'acquérir très vite des
données même complexes.
Licia
devient l'archive vivant de la clandestinité civile et militaire
confié à son mari. Elle est aussi la dépositaire de la plus part
des communications clandestines du Partito d'Azione avec Parri à
Milan, avec le Veneto, l' Emilia et naturellement Florence et la
Toscana.
Après
l'auto-libération de Florence le 11 août 1944, à la suite des
inéluctables consequences et des activités absorbantes propres et
celles liées au rôle de President du CTLN de son mari elleest très
éprouvéé et pour cettes raisons elle sera obligée à séjournes
près de son père ingenieur de la Navalmeccanica, à Naples du
janvier au juillet 1945.
Elle
est à Rome une partie de l'an 1945,près de son mari qui fait partie
du gouvernement Parri, mais en décembre elle rentre avec ses deux
fils à Florence, où elle travaille – comme elle même se rappelle
– à ficher des dessins du Gabinetto Disegni e Stampe degli Uffizi
et à la Galerie d'Art Moderne de Palazzo Pitti, dont elle projeta un
nouveau aménagement non réalisé. Son
troisième fils, Giacomo, naît le 5 juin 1946.
Entre
1946 et 1955, à côté de sa propre activité et de la gestion
familiale, sa collaboration avec son mari est constante. En 1946 elle
collabore à la direction des collections “Quaderni d'Arte” et
“Saggi di critica d'arte” éditions U/Florence; elle est aussi
sécretaire - chargée par la Direction Générale – des
importantes expositions tenues à Palazzo Strozzi et à La Strozzina,
dont elle s'occupes des catalogues (1947 Mostra d'arte olandese e
fiamminga, 1948 Mostra della casa italiana nei secoli; 1949 Mostra su
Lorenzo il Magnifico e le arti). Elle prépare aussi le catalogue et
l'exposition “Mostra sulla sedia italiana nei secoli” pour la
Triennale à Milan 1951. Ce catalogue a été ri-édité en
2005 parce que “ se révèle exemplaire par rigueur et clarté dans
la présentation d'un materiel qui a une importance historique
particulière pour l'évolution de la “culture des objets” et
pour le design dans notre pays” (Vittorio Fagone). Toujours
en 1951 elle partcipe à la réalisation de l'importante exposition
des oeuvres de Frank Lloyd Wright, aussi comme
interprète. Est du 1952 le commencement de la revue bimestrelle de culture,selection, information artistique internationale seleArte, éditée par la société Olivetti. Cette revue représente un décisif changement dans le domaine de la divulgation artistique, pour son accessibilité innovatrice et rigoureuse soit économique que méthodologique. Elle y partecipe du commencement, s'assumant au fur et à mesure des choix des matériaux et de la rédaction des essais, et aussi de la compilation des rubriques. En juillet 1956 elle devient la seule rédactrice de la revue, et en mai 1964 co-directrice. Après juin 1966 la revue cesse de sortir (le majeur tirage a été en juin 1958 avec 54.544 copies vendues).
Une section avec le titre seleArte apparaît dans le fascicule n. 78 (avril 1966) de la revue Critica d'Arte jusqu'en 1989, dernière série publiée par éd. Panini.
En 1954 elle devient aussi rédacteur de la revue Critica d'Arte et en 1964 vice-directeur.
Dès 1955 la famille s'établit dans la maison qui sera définitive, sur le couteau du Monte Morello. En 1956, quand elle attendait sa fille Anna (née le 17 juillet) elle prend sa retraite d'avance grace aux facilités de loi et elle peut ainsi intensifier ses études et sa collaboration aux deux revues.
Sa parfaite connaissance de la langue allemande lui permet de publier en 1959 sa traduction de “Arte tardoromana” de Alois Riegl, précédée par une très importante nouvelle critique dans laquelle l'oeuvre du grand spécialiste est présentée dans une façon qui peut mieux et convenablement l'introduire dans la culture. Ce livre “représente en effet une expérience fondamentale de la critique d'art moderne et reste vital et actuel après 60 ans de sa premiére parution”.
Au commencement de l'an 1960 la santé, les engagements, la responsabilité familiale contraignent Licia à envisager l'abandon de la revue seleArte, décision retirée malgré l'augmentation de l'engagement dû à la revue, à cause des initiaties toujours plus nombreuses de son mari.
En 1961 Neri Pozza publie “Falsi e falsari”(Faux et faussaires) un livre qui est “un compte rendu des intentions, des méthodes et des techniques anciens et récents et un répertoire très considerable par son ampleur, même si non complet des faux de tout temps et en tout lieu”.
Licia
traduit ce livre, dont ella a aussi la curatelle, et – comme elle
temoigne dans sa “Mémoire pour ses fils”(1989) – elle adjute
“à la partie en état d'asphyxie des illustrations, beaucoup de
très beux faux que Zeri ne connaît pas, mais c'est un fait qu'on
n'a jamais parlé de ce livre,.. mais le livre était très
interessant, et comme toujours Kurz, amusant”. Ce livre a eu une
nouvelle édition en 1996.
Le
livre Peintres flamands paraît en 1962 au soins de G. Argentieri. En
Réalité, comme on deduit du contrat du 28 février 1962, le livre a
été écri par Licia qui accepte, au point 5, que la publication
paraisse avec la seule citation: aux soins de G. Argentieri. Ce
travail a été procuré par Alfredo Righi Cette situation ne l'a
pas empechéeet a permis la trasformation de l'installation du
chauffage de la maison, du charbon au mazout.
L'essai
prend en consideration toute la peinture flamande entre le Xve et le
XVIIe siècle, avec une precise et claire vision de ce période si
riche en faits figuratifs d'un très haut niveau.
Entre
1963 et 1967 son publiés trois liovres et plusières contributions
dans seleArte et Critica d'Arte qui
concernent ses études sur les dessins de la Fondation Horne à
Florence, du catalogue critique général à les études de chaque
artiste de la collection. C'est-à-dire: Disegni della Fondazione
Horne, scelta e catalogo sommario, Firenze La Strozzina 1963; Disegni
inglesi della Fondazione Horne a Firenze, catalogo critico, Milano
ed. Comunità 1966 avec aussi une introduction en anglais; Disegni di
Francesco Guardi nella Fondazione Horne a Firenze, problemi
guardeschi. Décisions du congrès 13-14 septembre 1965 Venezia,
Alfieri 1967.
Ce
sont en effet les dessins un des sujets principaux qui reviennent
dans ses études.
De
l'an 1967 sa santé conditionne de plus en plus son activité,
puisqu' elle est contraînte à de séjours très courts mais
frequents auprès de la mer – surtout à Viareggio – ou à la
montaigne, à Moena, pour retrouver sa santé. Cette sitation ne l'a
pas empêchée de continuer son travail (traductions, correction des
épreuves et tout ce que devenait nécéssaire) et sa gérance dans
l' aménagement de sa maison. Après le mariage de son aide
familiale, Maria Landi, elle est aidée par ses deux fils aînés.
Du
1968 paraît sa contribution dans les livres de la série Musei del
Mondo publiée par Mondadori. Cette série est traduite en plusieres
langues et diffuséè dans plusieurs pays (Alte Pinakothek, Monaco;
National Gallery, Washington; Prado, Madrid). A' Licia sont dû la
plus part des textes du Museo Nazionale di Antropologia, Città del
Messico.
En
printemps 1970 elle risque de mourir pendant une banale opération
pour enlever des calculs à sa vésicule biliaire à cause d'un arrêt
du coeur qui contraint le chirurgien à un massage à coeur ouvert
jusqu'à l'arrivée de l'appareil nécéssaire. Son ésprit indompté
lui permet encore une fois de surmonter cette épreuve. Après des
mois de convalescence elle reprend sa vie de toujours.
Elle
écrit des livres, apporte sa collaboration à son mari, pour qui
elle traduit de l'allemand le livre de W. Braunfels “Architettura
cittadina medievale in Toscana, Berlino 1953 et continue à s'occuper
de l'aménagement de sa famille et de sa maison. Pendant ce période
elle intensifie ses études pour la reconstitution de l'opus du
Libro dei disegni, del Vasari.
Entre
1970 et 1986 dans la vie des époux Ragghianti devient important le
séjour estival à La Guglielmesca hôtel près de Cortona où il
peuvent se reposer et travailler sous l'affectueuse attention des
hôteliers Nice e Mario Boeri. Après 1980 le séjour était prolongé
par leur hospitalisation dans l' hôpital de Cortona sous le soins du
professeur Marco Ricca pour mieux affronter les rigueurs de l'hiver. Les
deux volumes de “Il libro De' Disegni del Vasari” est publié en
1974 par les éditions Vallecchi, et l'autrice précise que “il est
la première représentation critique, totalement illustrée de la
collection graphique à laquelle Giorgio Vasari s'est dédié tout le
long de sa vie, avec un engagement parallèle à celui exgìigé du
travail pour la colossale oeuvre des “Vite”.
Elle
collabore encore deux fois à la série Mondadori Musées du Monde:
Metropolitan Museu, New York, Museo Archeologico Nazionale di Atene
(1979). Entre 1980 et 1984 pour la série Documenti éditée par De
Agostini Novara elle écrit: Civiltà preincaiche; Splendori delle
civiltà precolombiane; Ambienti del Rinascimento: Ces trois derniers
volumes sont des oeuvres de vulgarisaion concises, exhaustives et
rigoreuses en critique.
Du
1985 est la publication du consistant livre “Il Quattrocento
europeo” quatrième volume de l'Histoire de la Peinture (édité
par De Agostini Novara) dont son mari était le directeur. Dans ce
livre elle conclut avec cohérence et exhaustivement les recherches,
les approfondissements et les études entrepris en faisant les
comptes rendu des livres et des exposition dans seleArte pendant plus
de 30 ans.
Malgré
sa santé, aggravée par une progressive et inexrable diminuition de
sa capacité respiratoire, Licia continue comme toujours à
travailler, aménager et participer – quand et comme elle peut –
aux initiatives et manifestations promûes par son mari.
Au
cours deson long mariage, la table de Licia a été toujours un
poiunt de rencontre de personalités italiennes et étrangères.
Artistes, hommes politiques et de culture, archiects, hommes des
lettres et ausii les élèves du mari se sont succedé, au déjeneur,
au diner ou aux deux repas. Engagements acceptés aussi à cause de
partage à la conception du devoir et du comportement comme/en
qualité de professeur universitaire que Ragghianti avait empruntée
à la tradition allemande.
Peu
de jours avant la mort de son mari Carlo Ludovico vient de paraître
l'avant-dernier livre deLicia “Giotto” qui pourrait sembler une
oeuvre compilatrice de circonstance, mais qui au contraire est un
étude médité. Bien que ouvrage de vulgarisation – et on ne doit
pas oublier qu'elle a été maître et pionnier
dans l'usage de cette capacité explicative, comme elle-même écrit
“ ce court mais rigoureux essai...veut être ..une nouvelle
réflexion, conçue comme hommage à l'extraordinaire expérience de
ferveur et de vie que ce grand fils du Mugello nous a donnée”.
Bien
que contraînte par son presque continuel alitement eòlle dépense
toujours au maximum ses énergies, sauf devoir faire après des
pauses forcées pour se rétablir. Son déclin physique s'accentue
irrévocablement dès 1987, mais malgré tout soutenue par son
indomtable caractère elle continue à travailler
et à s'engager jusqu'à la rédaction de son dernier ouvrage
“Dipinti fiamminghi in Italia 1420-1570” éd. Calderini Bologna,
publié après sa mort. Le parcours idéal commencé en 1947 avec
l'exposition à Palazzo Strozzi dédiée aux Flamands se termine
ainsi. Ranieri Varese a écrit:” l'étendue de l'information permet
à ce Corpus de constituer une surprise pour les spécialistes,
même pour
ceux qui connaissent la peinture flamande.. Parcourir les nombreuses
pages de ce Corpus constitue
une ininterrompue sollecitation et une invitation: il n'est pas
risqué adfirmer qu'il s'agit d'un des plus importants livres parus
dand ces ans.”
Son
fils aîné François, soucieux avec ses soeurs à cause du
commencement de dépression de sa mère à la suite de la mort de son
compagnon après 49 ans veçus très intensivement “dans une
consciente construction, du moment où nous avons décidé de vivre
ensemble” puisque le Corpus flamand
était conclu insista avec affection avec sa mère à fin qu'elle
raconte par écrit les vicissitudes familiales. Deux ont été les
écrits consequents, dont une publié comme monographie – même si
dans la revue semi-clandestine seleArte, fanzine familial publié à
soi posthume et en quelque dizaine d'exemplaires avec le titre “Note
per un lessico familiare” en septembre 1994.
Le
“Lexique” s'achève le 23 avril 1989 et constitue une espèce de
prologue à la narration des événement entre Licia et Carlo
Ludovico. L'autre, écrit pendant la période d'hospitalisation à la
clinique Quisisana à Montecatini Alto, est conclu le 7 avril 1989 à
Florence, dans sa maison quand ellle était déjà contraînte au lit
en permanence avec le titre “Una mamma racconta, ai miei figli,
scritto per loro”. Composé de 190 pages dactylographiées par sa
fille Anna, écrit dand 4 grands cahiers sans corrections
Rosetta Ragghianti
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